De son visage de nacre
Déteint l’acrimonie,
Et la poupée Wanchai
Qui a dit mille fois oui
Se navre.
Je fraye avec vipères
Dont le venin se lasse,
Planche-à-billète court
Et vitupère à corps
Perdu.
Les hommes qui payent
Pour me punir de plaire,
Le rouge des strass puis…
Les Alcôves arrières :
Mes mues.
Client vitupère
A mon corps défendant
Infuse son venin,
Frère,
Et court.
Mon corps est-ce moi?
Mon ventre digère,
Leur pénis d’émoi nul.
Ils aboient,
Et leurs buildings
Font des émules.
Aux Soleils de janvier
Aux fissions de l’Atone,
Ma nuque se gorge de rayonnées,
Et l’instant prouve qu’arraisonnent
Aux berges de l’Hiver
Les noces de l’été.
Villons, millions, pavillonnent,
Tous les matins du Monde,
J’entends,
Je crois entendre
Les fous qui font les
Délicats.
Ton cœur est-ce à moi?
Vole et fracasse
Les Minuit lasse.
C’est l’heure inespérée
Des chromatismes en dingue.
Folle l’heure découpée
Où j’ai vendu ma Fleur
En aparté.
Saisissons nous,
Faisons l’amour mieux
Reproduisons les rimes
Que trop tard
Sur les Quais d’Seine
Nous avons
Égarées.
Fou qui fait le Délicat,
Toi qui livres l’à peu près
Fou qui écoute mais n’entend pas,
Vois mes sourires éclos
Au dos des Voluptés.