Les

sont dans la boîte et elles n’ont pas fini de la transpercer ! À venir un bel habillage musical qui devrait porter les mots sur les ondes dans une balade en podcasts et des captations vidéos .

Un grand merci à JE

pour la gentillesse et tout le temps accordé, à Sophie / @chaussetteb pour l’accueil et la soirée et à JE pour l’hospitalité.

On se sent bien sur votre île les amis !

« Je vois ces photos comme des portes a traverser, des passerelles qui me permettent de circuler librement dans le temps et l’espace, aiguillé par l’obsession de trouver la lumière du soleil, de percevoir et rendre visibles des horizons derrière l’acier.

J’y vois de la volonté de puissance et des corridors de marbre, j’y entends les bruissements des pinceaux de peintres et même des voix d’outre-tombe, j’en ressens le macadam édenté et les lianes qui fendent la pierre. Mais Il me restait à mettre en mots une géo-poétique de cette ville qui nous fascine, qui nous inspire, avec tout ce qu’elle a traversé ces dernières années, de l’énorme tumulte des foules qui grondent à l’infiniment vicieux d’un virus qui se cache pour tuer.

Et puis cette question en point d’orgue, cette question lancinante à laquelle je ne sais toujours pas répondre et qui surgi à chaque coin de rue : comment une mégalopole aux mille tours d’acier, aux mille tiges de métal et de verre s’est construite sur un roc grâce à des bambous. L’étonnement c’est ce qui revient au philosophe, l’émerveillement c’est l’apanage des poètes et de l’enfant. Ces bambous continuent de m’émerveiller, comme cette ville. »