Analepse true story :

Matt, 2015, Peel Street Hong Kong

– Je voudrais réunir les gens autour de la poésie française, et notamment Rimbaud, que j’adule, c’est un compagnon de route pour moi…

– Tu veux dire un cours pour des élèves?

– Non pour des adultes de la communauté française tu vois…

– … Ha ha bonne chance ! Tu penses que ça va intéresser quelqu’un ici ?

– (Un peu rabroué mais maintenant le rictus en coin) tu sais derrière chaque banquier il y a un poète qui s’ignore…

Merci à tous d’avoir partagé avec nous ce moment suspendu consacré à la poésie de Rimbaud. *

Merci aux sponsors qui sont avant tout des amis Vines and Terroirs (Charles Soulisse) Bon-Eat-O (Cesar De Sainte Maresville, Thomas REMY pour les photos) Banyan Workspace / @charlotte) UFE Hong Kong & Macao – Union des Français de l’étranger / Pauline Ramet / Evelyne Lecoq / Sam Démarais

De « Sensation », simple et beau comme une bohème d’ado aux fulgurances du « Bateau Ivre », un an à peine s’est écoulé.

De l’amour infini qui lui monterait dans l’âme au rut des Béhémots, aux Maelstroms épais, aux immobilités bleues, aux cieux délirants, aux million d’oiseaux d’or… Quelques mois à peine se sont égrenés…

Quelques semaines décisives pendant lesquelles Arthur est devenu Rimbaud, au gré de fugues et de lettres prophétiques où l’écolier surdoué de Charleville est devenu le Voyant suprême, bouleversant la poésie et la littérature française pour les deux siècles à venir.

« Et j’irai loin, bien loin, comme un bohémien,�Par la Nature, – heureux comme avec une femme. »

Sensation, Arthur Rimbaud, Mars 1870, quinze printemps au compteur. @followers pensée pour toi mon amie Marjolaine Roblette Geres

#alchimieduverbe #rimbaud #sauvespourlebac #sauvesparlekong